Test SteelSeries Apex M800
Ces derniers mois, la plupart des constructeurs de périphériques pour joueurs ont proposé chacun à leur tour des claviers mécaniques équipés d’éclairages RGB. Après le Corsair K70 RGB, le Razer BlackWidow Chroma, puis le Logitech G910, c’est maintenant au tour du SteelSeries Apex M800 de passer entre nos mains.
Particulièrement active sur le secteur de l’e-sport, sponsorisant des équipes de classe mondiale telle que Fnatic, SteelSeries n’est plus vraiment à présenter. La marque Danoise propose depuis de nombreuses années des souris, claviers et autres casques aux performance reconnues et souvent aussi bien appréciées par la presse que les joueurs.
Avec ce nouveau Apex M800, la marque inaugure ses interrupteurs mécaniques maisons, les QS1. Des switches qui changent radicalement des habituels Cherry MX (et variantes proposées par Razer ou Logitech), avec un profile plus bas, une course plus courte et un bruit bien moins important. Outre ces nouveaux interrupteurs, le clavier dispose notamment d’un rétroéclairage RGB complètement paramétrable, de 6 touches destinés aux macros ou encore de deux ports USB 2.0 permettant de venir connecter facilement des clés USB ou un casque.
Disponible depuis peu sur le marché Français, il est disponible aux alentours des 189€ chez les meilleurs revendeurs, dont Amazon. Un tarif plutôt élevé, comme souvent avec ce type de produit. Dispose-t-il des qualités nécessaires pour venir détrôner les leaders du marché ? Réponse dans la suite de l’article avec notre essai complet et imagé.
- Les switches mécaniques linéaires de jeu SteelSeries QX2 permettent une pression de touches ultra-rapide et...
- L'éclairage par touche dynamique Prism RVB ajoute 16,8 millions de couleurs et des effets de lumière...
- Forgé en aluminium aérospatial pour une durée de vie extraordinaire et un look moderne
Unboxing
Le clavier est livré dans une boite en carton plutôt large, protégée par une couverture reprenant les couleurs habituelles de la marque, à savoir du noir et du orange. L’impression de qualité est plutôt bonne aux premiers abords.
Sur la face avant, on retrouve une très large photo du Apex M800 (pratiquement échelle 1/1), ainsi qu’un encart sur le côté gauche permettant de tester directement les nouveaux interrupteurs GS1. Evidemment, ce n’est pas le type de produit que l’on croise tous les jours dans une boutique physique, alors on essaiera un peu plus bas de vous décrire au mieux les performances de ces derniers.
Les principales caractéristiques et fonctionnalités du clavier sont détaillées à l’arrière de la boite. Sur la partie gauche, l’accent est notamment mis sur les nouveaux switches mécaniques, le logiciel accompagnant le clavier, et la personnalisation du rétroéclairage RGB. Sur la droite, on découvre une seconde photo du clavier, avec cette fois-ci la présentation des touches de raccourcis supplémentaires, des ports USB additionnels ou encore du design « low profile » de la bête. Le tout est expliqué en anglais, français et allemand.
A l’intérieur de la boite, outre le clavier, on retrouve les éléments suivants :
- Un guide utilisateur
- Trois touches supplémentaires pour les utilisateurs de Mac
- Deux pieds permettant de surélevé le clavier
- Des stickers SteelSeries
Design & Ergonomie
Commençons d’abord avec l’aspect général de ce SteelSeries Apex M800. Construit dans un plastique noir mat, le clavier se montre relativement lourd (1.4kg) et semble à première vue plutôt bien robuste. Pour comparaison, le Roccat Ryos MK Pro que nous testions récemment pèse lui 1.6kg mais possède un très large repose-poignet.
Du côté des dimensions, comptez 510mm de longueur pour 175mm de largeur et environ 40mm d’épaisseur (sur la partie supérieure). Un clavier plutôt long donc, notamment avec la ligne de macros sur le côté gauche, et deux bandes d’environ 2cm sur chaque extrémité. Dans l’ensemble, il reste cependant plus compact que le modèle G910 de Logitech par exemple.
Vue de côté, le M800 dispose d’un design plutôt atypique comme vous pourrez le voir sur la photo ci-dessous. Les lignes sont incurvées et offrent aux claviers une ergonomie plutôt agréable, avec une légère inclinaison même en utilisant les pieds standards. Le rétroéclairage sur les flancs ajoute une petite touche de modernité au tout et il faut avouer que visuellement c’est plutôt réussi et surtout sans excès. En gros, le clavier ne crie pas haut et fort « JE SUIS UN GROS GAMER ».
Sur l’arrière, on retrouve évidemment le câble reliant celui-ci à l’ordinateur. Il s’agit d’un câble tressé d’une longueur de 2 mètres, plutôt fin, ce qui devrait enchanter les amateurs de « câble management ». A son extrémité, on retrouve non pas un, mais deux connecteurs USB. Pourquoi deux connecteurs ? Tout simplement car le SteelSeries Apex M800 dispose lui-même de deux ports USB 2.0 placés sur sa tranche arrière.
En pratique, il est alors possible de venir connecter une clé USB ou tout autre périphérique (comme un casque par exemple) directement sur le clavier, plutôt que de devoir se tordre pour accéder à l’arrière de sa tour. On regrette cependant l’absence d’une entrée audio et d’une entrée micro, comme on peut en voir chez certains concurrents.
En retournant le clavier, on compte quatre pieds en caoutchouc (et donc impossible à casser à la différence de pieds en plastique), positionnés sur chaque coin du clavier. Il est possible de remplacer les deux présents sur la partie arrière par une paire un peu plus haute, permettant d’encore un peu plus surélevé et incliné le clavier. Ils permettent également d’apporter une bonne adhérence à l’Apex M800, qui à l’utilisation ne bronche pas, du moins posé sur notre tapis HyperX Fury XL.
Concernant les touches, ces dernières ont la particularité d’avoir un profile plutôt bas pour un clavier mécanique. En effet, on est souvent habitué à voir des touches très hautes chez la concurrence, et SteelSeries prend ici tout le monde à contre-pied. La disposition reste plutôt classe, si ce n’est la barre d’espace, deux fois plus large qu’à l’accoutumée. Un choix plutôt malin, qui permet d’accéder très facilement à cette dernière peu important où l’on envoie son pouce.
Sur le côté gauche, on retrouve 6 touches supplémentaires, permettant d’attribuer des actions personnalisées ou des macros. Elles sont numéros de 0 à 5, la touche 0 étant légèrement déportée sur le haut, au même niveau que celui de la touche Echap.
Aucun bouton supplémentaire n’est à signaler mais on retrouve des raccourcis sur les touches F5 à F12 permettant de gérer la luminosité du rétroéclairage, la lecture de son contenu multimédia ou encore les paramétrages du volume sonore. Pour activer ces dernières, il suffit simplement de les enfoncer tout en maintenant la touche « SteelSeries », positionnée à droite de Alt Gr.
En pratique, on reste cependant adeptes de ce qui est proposé sur le Corsair K70 RGB et le Logitech G910, à savoir une molette permettant de gérer le volume et des boutons distincts pour passer d’une musique à l’autre. Souvent positionnés dans le coin supérieur droit des claviers, ils sont ici remplacés par le logo SteelSeries, rétroéclairé.
En parlant de rétroéclairage, vous l’avez surement déjà remarqué sur les différentes photos, mais chaque interrupteur dispose évidemment de sa led RGB. On reviendra sur les différents effets disponibles dans la présentation du logiciel, mais le résultat est vraiment sympathique et il est possible de configurer chaque bouton de façon individuelle, afin d’obtenir un éclairage vraiment personnalisé.
Dans l’ensemble, le design du ce SteelSeries Apex M800 est donc une réussite. Le clavier se montre robuste, le positionnement des touches est plutôt bien pensé (notamment la barre espace) et le rétroéclairage apporte un peu de fun à l’ensemble. Reste maintenant à voir le résultat en pratique.
Fonctionnalités & Logiciel SteelSeries Engine 3
Si le clavier peut être directement utilisé sans la moindre installation (du moins sous Window 10), on ne peut que vous conseiller d’aller télécharger la dernière version du SteelSeries Engine sur le site du constructeur. Deux versions sont actuellement disponibles, une V3 pour Windows 7 et supérieur (ou Mac OSX 10.8 et supérieur) et une V2 pour les appareils équipés de Windows XP ou Mac OS 10.7.
Une fois installé, il est fort probable qu’une mise à jour du Firmware du Apex M800 soit disponible. L’installation se fait rapidement, et il suffit ensuite de déconnecter/reconnecter le clavier pour la finaliser.
Trois onglets sont disponibles, dont le premier « Mon Equipement » listant les différents périphériques de la marque actuellement connecté. En cliquant sur celui-ci, un écran de configuration s’ouvre et permet alors de gérer différents paramètres du clavier.
Une photo du clavier permet par défaut de sélectionner la touche de son choix et d’y attribuer une nouvelle action. Notez que l’intégralité des touches peut être configurée, et non pas seulement les touches supplémentaires placées sur la gauche. C’est évidemment ces dernières qui nous intéressent le plus.
En cliquant dessus, un pop-up s’ouvre et permet de sélectionner une action parmi de nombreuses catégories :
- Touches du clavier : On retrouve la liste de toutes les touches disponibles par défaut sur un clavier standard.
- Macros : Pour enregistrer des combinaisons de touches très facilement, exécutables à plusieurs reprises.
- Boutons multimédias : Pour gérer facilement sa musique et le volume sonore.
- Boutons de souris : Pour passer d’un DPI à l’autre par exemple.
- Fonctions clavier : Différentes options liées au clavier (luminosité de l’éclairage, verrouillage touche Windows…)
- Lancer l’application : Pour ouvrir un programme ou un jeu d’une simple touche.
- Lancer Configuration : Permet de basculer d’une configuration de clavier à une autre depuis un bouton.
- Raccourcis SE : Une liste des raccourcis les plus communs sous Windows et Mac OS.
- Enregistrement de macro en direct : Comme le nom l’indique, pour débuter l’enregistrement d’une macro pendant en pleine partie par exemple.
Bref, vous l’aurez compris, il y a de quoi faire pour personnaliser les différentes touches du nouveau clavier mécanique de SteelSeries.
Toujours sur la même fenêtre, il est également possible de régler le rétroéclairage du clavier. Pour cela, il suffit de cliquer sur le bouton correspond, au-dessus de l’image du M800.
Comme expliqué un peu plus haut, il est possible d’attribuer un éclairage spécifique à chacune des touches du clavier, mais également au niveau du logo. Evidemment, il est également possible de sélectionner directement des zones complètes, soit en maintenant le clic et en survolant les touches de son choix, soit à l’aide d’un outil de sélection rectangulaire.
En plus de pouvoir sélectionner la l’éclairage de chaque touche (parmi un panel de 16.8M de couleurs), le logiciel permet également d’attribuer des effets lumineux :
- Fixe : Illumination continue de la touche.
- ColorShift : Alternance de couleur par séquence. En gros, vous pouvez positionner plusieurs marqueurs de la couleur de votre choix et l’éclairage suivra ce cycle. Il est également possible de sélectionner la durée de chaque cycle, de 2 à 30 secondes.
- Respiration : L’éclairage se fait de façon intermittente, à la manière d’une pulsation. Là encore, il est possible de sélectionner une séquence de plusieurs couleurs ainsi que la durée.
- Touches réactive : Permet d’attribuer une seconde couleur lorsque la touche est activée, sur une durée de 1 à 10 secondes.
- Minuterie de récupération : Nouvel effet, celui-ci permet de passer d’une couleur à l’autre lorsqu’un « Cooldow » est terminé. Les amateurs de MMORPG devraient notamment apprécier ! Dans l’idée, on sélectionne une couleur pour l’état « prêt », une seconde pour l’état « récupération », et un temps de récupération. Lorsque la touche est actionnée, elle deviendra par exemple rouge pendant 3 secondes dans l’exemple actuel, avant de repasser au vert jusqu’à la prochaine activation.
- Désactiver l’éclairage : Comme son nom l’indique, permet de désactiver la LED RGB d’une touche (ou plusieurs si vous n’êtes pas vraiment branché bling bling).
SteelSeries propose également de nombreux modèles préconçus, permettant d’illuminer entièrement son clavier quelques secondes. On retrouve des modèles relatifs à certains types de jeux (FPS ou MOBA par exemple), des effets maintenant classiques comme la « Vague de couleur » mais aussi des bien plus funs, comme par exemple celui aux couleurs du drapeau Danois, origine du constructeur, ou encore le mode « Disco » pouvant clairement rendre fou en quelques secondes.
Dans l’ensemble, le rétroéclairage du SteelSeries Apex M800 est vraiment l’un des plus poussé que l’on ait testé aujourd’hui. Les options sont vraiment très nombreuses et offrent un niveau de personnalisation vraiment impressionnant. Le tout est qui plus est facile à mettre en place et se prend clairement vite au jeu, d’autant plus qu’il est possible d’obtenir un aperçu en live avant d’enregistrer ! Et pour les plus flemmards, vous devriez pouvoir trouver votre bonheur parmi les nombreux modèles proposés.
Toujours sur ce même onglet, un bouton « Configs » en bas à gauche permet de déployer un menu listant les différents profils enregistrés. Il est possible de créer une infinité de profils différents, avec évidemment des attributions de touches et des éclairages spécifiques.
Le second onglet du SteelSeries Engine V3 se nomme « Bibliothèque » et permet justement d’attribuer ces profils à différents jeux ou logiciels de façon automatique. En clair, des configurations différentes pourront automatiquement être affectées au M800 si vous lancez CS:GO ou Photoshop.
Enfin, le dernier onglet permet de paramétrer les options de la fonctionnalité GameSense. Nous en parlions rapidement lors de notre essai de la SteelSeries Rival, mais celle-ci prend ici beaucoup plus de sens.
Pour rappel, grâce au GameSense, il est possible d’affecter des effets lumineux spécifiques à votre clavier en fonction d’évènements spécifiques durant vos parties. Fonctionnant uniquement avec CS:GO, Dota 2 et MineCraft pour le moment, d’autres jeux devraient être compatibles dans le futur.
Si on prend l’exemple de Counter Strike, il est par exemple possible d’afficher sa barre de santé sur les touches 1 à 0. En gros, à 100% toutes les touches sont affichées en vert, mais si vous êtes touché, ces dernières passent au rouge en fonction de votre vie restante. A 50% de votre vie, seules les touches de 0 à 5 seront vertes.
De la même façon, on peut créer des effets en fonction de son argent disponible, de ses munitions ou encore de son nombre de frags. Des réglages par défaut sont à chaque fois proposés, mais il est possible de configurer tout ça en détails de façon intuitive.
En pratique, le résultat est vraiment sympathique et offre une immersion encore meilleure avec les jeux compatibles. Dommage que la liste soit encore assez réduite, même s’il est difficile d’en voir à SteelSeries, puisqu’ils sont aujourd’hui les seuls à proposer cette fonctionnalité.
Performances
S’il y encore quelques années, la grande majorité des claviers mécaniques étaient équipée de switches Cherry MX, de nombreux constructeurs proposent maintenant des interrupteurs « maisons ». Un choix qui n’est cependant pas toujours délibéré, puisque les switches Cherry MX RGB sont jusqu’à maintenant réservés aux claviers de Corsair (notamment les K70 RGB et K95 RGB). Logitech propose ses touches Romer-G, et Razer ses Razer Green (conçus par Khail pour la marque). Dans les deux cas, les résultats sont proches de ce que l’on retrouve habituellement sur des claviers mécaniques, à quelques différences minimes près.
De son côté, SteelSeries opte également pour des interrupteurs maisons, les QS1, mais ces derniers diffèrent fondamentalement des Cherry MX. Issus d’une collaboration entre SteelSeries et Khail spécialement pour l’Apex M800, les QS1 disposent d’une distance de lancement de seulement 3 mm (là où des Cherry MX Red sont à 4 mm) alors que l’activation se fait elle à 1.5 mm (le tout avec une force de 45cN).
En pratique, on obtient un enclenchement particulièrement rapide, voir le plus rapide actuellement disponible. En jouant, il faut avouer que la différence se fait ressentir et qu’on a vraiment l’impression de gagner en réactivité tant les touches sont activées à toute vitesse. Cependant, dans une utilisation plus classique, cela reste moins efficace que des interrupteurs mécaniques standards, notamment si vous avez l’habitude d’écrire énormément sur l’ordinateur. Rien de rédhibitoire à l’achat cependant, puisque l’on écrit actuellement cet article sans le moindre souci.
Toujours concernant les performances, le clavier dispose d’un « ghosting zéro », permettant d’actionner autant de touches que l’on souhaite sans rater la moindre commande. Enfin, concernant la fiabilité, les GS1 sont annoncées avec une durée de vie 60 millions d’activation, soit 10 millions de plus que des Cherry MX (difficile à vérifier en pratique).
A l’utilisation, il est cependant bon de noter que ces nouveaux interrupteurs QS1 différent de ce que l’on l’habitude de voir chez la concurrence en termes de claviers mécaniques. En effet, comme vous pourrez le voir sur la vidéo un peu plus bas, on a en fait l’impression d’être dans une sorte d’intermédiaire, entre clavier à membranes et clavier mécanique. Tout d’abord à cause de la course très courte, mais aussi du fait que les touches soient bien plus silencieuses que chez la concurrence (un bon point si vous jouez souvent avec du monde autour de vous) et qu’il n’y ait pas de réel clic à l’enclenchement.
Pour autant, les performances restent excellentes et on s’habitue très rapidement à ces nouveaux interrupteurs. Pour ma part, je dois avouer être clairement séduit par ces derniers, même si les « puristes » seront probablement un peu déboussolés.
Concernant le confort sur la durée, rien à redire. L’ergonomie est bonne et aucune fatigue ne se fait ressentir, même si l’ajout d’un repose-paume en option aurait été clairement le bienvenu.
Présentation vidéo
Conclusion
Ce SteelSeries Apex M800 est clairement une excellente surprise, dans la lignée des autres produits proposés par la marque. Avec ses nouveaux interrupteurs QS1, SteelSeries se démarque de la concurrence en proposant des touches particulièrement rapides et réactives, offrant un excellent confort et de très bonnes performances durant le jeu.
Le design est lui aussi plus que correct, avec des bonnes finitions qui devraient offrir une grande longévité au produit. Sur cette partie, le seul bémol que l’on pourrait émettre est l’absence d’une molette pour le volume et de touches multimédias supplémentaires.
Enfin, un des gros points forts du M800 est sans conteste son rétroéclairage. Piloté depuis le SteelSeries Engine, il est paramétrable dans les moindres détails et offre plus d’effets que la concurrence, notamment grâce à la fonctionnalité GameSense.
Si vous êtes à la recherche d’un clavier mécaniques silencieux, complet et performant, on ne peut que le recommander malgré son prix plutôt important. Pour les plus réfractaires au changement, ne souhaitant pas s’éloigner des classiques Cherry MX, optez plutôt pour le K70 RGB de Corsair, tout aussi complet et performant.
« optez plutôt pour le K70 RGB de Corsair, tout aussi complet et performant. »
ah? elles sont où les touches macro sur le K70?
C’est vrai. Le K95 du coup si les touches macro sont essentielles. 🙂
Euh … il pèse 14 kg ?? .. un clavier ?
Non 1,4kg.